Se faire accompagner sur l’Intelligence Artificielle…

L’Intelligence Artificielle fait partie des innovations dites « Technologie de portée générale », un peu comme l’électricité ou Internet. En parvenant à imiter l’homme dans l’imaginaire collectif, la technologie peut assister l’humain et le soulager, parfois même le remplacer. Ainsi l’IA va impacter différentes natures de tâches, manuelles ou intellectuelles, dont certaines sont amenées à disparaître. Sans pour autant détruire des emplois…


Offre de produits ou de services, amélioration de l’expérience client, efficience opérationnelle ou expérience collaborateur : l’IA peut être un allié dans ces différents domaines, et les dirigeants d’entreprises doivent porter un regard positif sur ses avancées, se questionner sur la manière dont celle-ci peut les aider à résoudre des problèmes plus ou moins complexes. Cela commence par se forger des convictions, puis une vision.

Pour en savoir plus : téléchargez ce document  – ADIX – Accompagnement IA Hauts-de-France

Adix a été retenu par le Medef Lille Métropole, par la Direccte et par Akto pour accompagner les entreprises des Hauts-de-France dans l’intégration de l’IA comme levier de compétitivité, et notre expérience depuis octobre 2019, auprès de plus de 15 entreprises positionnées sur des secteurs d’activité très différents, peut vous faire gagner du temps et vous aider à franchir les premières marches… Alexandre Labé (labe@adix.fr) et Xavier Libéral (liberal@adix.fr), Consultants managers au sein du Cabinet, vous attendent au bas de l’escalier, n’hésitez pas à les contacter !

En écho à ses valeurs citoyennes et son engagement sociétal, Adix soutient le projet LinkedOut, version solidaire de Linkedin par l’association Entourage.

Ce projet est né du constat que les personnes en situation de précarité sont invisibles sur le marché de l’emploi ; invisibilité qui les empêche de trouver du travail.

Le projet LinkedOut est une plateforme digitale qui rassemble les CV de personnes en difficulté souhaitant travailler. LinkedOut s’appuie sur le réseau des entreprises partenaires, de leurs collaborateurs ainsi que tout individu souhaitant à son échelle participer à cette initiative. Chaque utilisateur peut facilement, en un seul clic, diffuser le ou les CV de son choix sur les réseaux sociaux afin de booster et donner de la visibilité à des personnes en recherche d’emploi.

Cette année ce sont 80 nouveaux candidats qui sont à découvrir et à accompagner. Le Skipper Thomas Ruyant portera la voix de cette promotion et lui donnera une visibilité sans précédent pendant le Vendée Globe avec son bateau LinkedOut.

Avec ce partenariat, Adix continue son action pour favoriser l’insertion professionnelle et œuvrer pour une société plus inclusive.

Mobiliser son réseau, mobiliser ses collaborateurs, communiquer et donner de la visibilité au projet LinkedOut pendant le Vendée Globe, sont les engagements que prend Adix comme partenaire.

Rendez-vous le 8 novembre prochain pour le grand départ et faire ensemble du Vendée Globe un évènement sportif utile et solidaire !

Dans le cadre de son partenariat au sein de Soliance Capital Humain, l’équipe ADIX vous invite à assister à ses prochains Webinars autour de la reprise d’activité suite à la situation exceptionnelle que nous vivons actuellement. Les 4 sessions (d’une durée d’une heure chacune) sont gratuites et vous sont proposées à deux dates différentes :

  1. Préparer vos managers à la reprise d’activité (animé par Anne Bondu et Serge Weiss>> jeudi 30.04 11:00 et jeudi 07.05 11:00
  2. Comment protéger sa santé dans le contexte COVID-19 (animé par Roland Sicard, Isabelle Sant et Marjorie Dumont Crisolago) >> mardi 28.04 11:00 et mardi 05.05 11:00
  3. Checklist des mesures de soutien de vos salariés (animé par Marjorie Dumont Crisolago et Serge Weiss>> jeudi 30.04 14:00 et jeudi 07.05 14:00
  4. Mesures de prévention avec le COVID-19 – Retour d’expérience d’un dirigeant hospitalier (animé par Roland Sicard et Anne Bondu) >> mardi 28.04 14:00 et mardi 05.05 14:00

Pour toute inscription contactez Serge Weiss en précisant les sessions auxquelles vous souhaitez participer.


Soliance Capital Humain regroupe des compétences et expertises autour du conseil en management et en RH, du développement des talents, de la santé au travail et de l’amélioration des conditions de travail. Outre Adix, ce collectif se compose des sociétés Preventech Consulting, Elancya et La Valériane

Depuis la fin des années 90, si les entreprises se targuent de considération envers leurs clients, c’est avant tout à leur dimension consumériste qu’elles s’adressent ; Florent Argentier, consultant Adix et par ailleurs Président du Cercle Marketing Client, estime qu’il est temps qu’elles les considèrent aussi comme des clients-citoyens.


 

Le marketing orienté client, Graal des années 2000

Mettre le client au centre c’est, au début des années 2000, le leitmotiv de toutes les entreprises (et pas seulement celles du secteur de la distribution) : cela se traduit par un profond travail sur la connaissance du client, afin de mieux anticiper ses besoins ; cela touche également la conception de l’offre produits (participatif, co-construction), et surtout la mise à disposition des produits via différents canaux de vente (le fameux multicanal), par des modes de livraison ou de paiement qui se diversifient, ou encore dans la communication sur les produits ou la marque.
De manière assez caricaturale, le client est même incarné dans certains Comités de Direction, les SAV prennent la dénomination de relation clients… Les mots et les actes des clients sur l’Internet (forums et réseaux sociaux) commencent à être scrutés. C’est l’émergence de technologies et d’outils nouveaux qui favorisent une plus grande proximité avec les clients.
« Clients, je vous ai compris » : Le discours semble novateur mais la posture reste souvent… gaullienne, et si le client est certes traité de manière plus individualisée, il reste avant tout, aux yeux du marketing, un consommateur.

Dans ce contexte, la mission du marketing est d’influencer les arbitrages et les choix du client-consommateur, au prétexte de le satisfaire

Dès lors que le besoin et/ou l’envie sont à la base de toute décision d’achat , le marketing va tenter de les révéler et les influencer, dans le but de déclencher l’acte : Il s’agit donc pour le marketing de nourrir ce besoin (cette envie) par des insights sur les prix, sur la marque, sur les caractéristiques intrinsèques du produit (incluant le design), ou encore sur les services associés du produit et sur l’expérience d’achat. Reste alors, pour être décisif, à fournir au client l’opportunité d’acheter (le lieu ou le canal, et le moment).

Mais depuis quelques années, les arbitrages réalisés par les clients reflètent une prise de conscience des enjeux de nos sociétés

Urgence écologique ou sanitaire, pénurie des matières premières, conscience éthique ou environnementale… La dimension citoyenne apparaît de plus en plus comme un critère de choix d’achat ou d’arbitrage final : toute chose étant égale par ailleurs, le client privilégie une enseigne ou un produit qui correspond à des valeurs qu’il défend. Et, bien entendu, ce critère de choix n’est pas homogène d’un individu à un autre, les combats sont propres à chacun : le bio, le fabriqué en France, l’économie circulaire, l’éthique fiscale ou sociale de l’entreprise, le bilan carbone etc. Ce sont autant de critères pouvant être pris en compte par un individu dans ses décisions d’achat individuelles. Cette dimension citoyenne, d’autres la nomment responsable ou éthique.

L’entreprise doit maintenant appréhender ses clients et prospects dans leur dimension citoyenne, et plus seulement dans leur dimension consommateur

Mais attention, au même titre que les clients-citoyens acceptent les compromis, voir les petits arrangements avec eux-mêmes (ex : je me déplace au quotidien sans voiture, mais je pars en vacances loin et en avion) et choisissent leurs combats, les entreprises ne pourront s’engager sur tous les fronts mais devront aussi faire des choix. Et, surtout, être irréprochables dans les batailles qu’elles mèneront. Car le citoyen décodera aisément les initiatives trop mercantiles, opportunistes et peu sincères.
Au sein de l’entreprise, ce sont tous les métiers qui sont concernés par ce sujet, qui interroge avant tout les valeurs et la stratégie. Les directions marketing ont le devoir d’ouvrir le dossier du marketing responsable : Parce que chaque collaborateur est aussi un client, et donc un citoyen, parce que c’est plus qu’une mode ou qu’une tendance, et parce que cela constitue une opportunité de forte différenciation, tant ce ne sont pas les combats qui manquent !
Et surtout parce qu’au final, il s’agit d’agir pour le bien commun.


Cet article, publié sous une autre forme avant le déclenchement de la crise sanitaire que nous traversons, prend un sens particulier au regard de l’actualité. Vous êtes invités à réagir et à donner votre avis en envoyant un mail à argentier@adix.fr, ou via ce formulaire.
Nous serons heureux de pouvoir replacer cette réflexion dans le contexte de votre entreprise, car nous pensons que chaque entité se doit de définir ses objectifs et sa trajectoire en fonction de son identité propre. 

Le bon fonctionnement d’une organisation, à fortiori d’une entreprise, tient de l’horlogerie : lorsque les composantes organisationnelles sont définies et alignées entre elles, l’entreprise est mieux armée pour relever l’ensemble des défis externes qui ne manqueront pas de surgir.
C’est la recherche d’une forme d’esthétique organisationnelle que s’est attaché de décrire Michel CAUVIN, consultant et associé du cabinet ADIX.


Face à la nécessité de s’adapter à son marché, à une concurrence de plus en plus agile, à une pression légale ou réglementaire de plus en plus forte, ou à une situation périlleuse, l’entreprise a besoin de s’appuyer sur une organisation efficace, efficiente et dans l’idéal souple et agile !
Certes…. Mais avant d’échafauder des plans d’évolutions aussi structurants que complexes et d’identifier les solutions à mettre en œuvre, quand on parle d’organisation d’entreprise, de quoi parle-t-on exactement ? Quels sont les sujets à analyser et comment interfèrent-ils entre eux ?
Pour ADIX, et cela a été alimenté par de nombreux accompagnements de clients, l’organisation d’une entreprise repose sur 7 composantes essentielles.
Ensemble, ces facteurs déterminent la manière dont elle fonctionne :

  1. Les valeurs : Elles constituent la culture et l’identité propres à l’entreprise.
    Véhiculant l’image de l’entreprise vis-à-vis du marché, elles doivent être également un point de convergence pour tous les collaborateurs : Un décrochage entre la marque Produit et la marque Employeur peut être préjudiciable à sa valorisation sur les réseaux sociaux, à l’engagement des collaborateurs et à l’attractivité de l’entreprise vis-à-vis de nouveaux talents.
  2. La stratégie : Elle représente les orientations et les choix de l’entreprise : Les domaines et activités sur lesquels elle souhaite s’engager, la nature et l’intensité de cet engagement ainsi que les avantages concurrentiels à acquérir ou à développer.
    La stratégie est (très) souvent à clarifier en amont : Les autres composantes de l’organisation en dépendent et sont à remettre en cause à chaque nouvelle orientation. De sa clarté, de sa compréhension découlent l’adhésion des collaborateurs et elle constitue le prisme par lequel va être évalué la performance de l’organisation.
  3. Sa structure interne : Par essence fortement liée à la stratégie, la structure organisationnelle de l’entreprise définit sa segmentation, les localisations géographiques, la répartition des grandes missions à accomplir, les liens d’autorité, de coopération et d’information.
    Les différents schémas d’organisation se différencient par leur degré de centralisation / décentralisation, leurs moyens de coordination et l’équilibre entre spécialisation et intégration.
    Au même titre que l’évolution de sa stratégie, la modification de la structure d’une entreprise est un des facteurs majeurs d’évolution (voire de transformation) d’une organisation.
  4. Ses systèmes au sens large, constituant la mécanique de l’entreprise : Ils représentent l’ensemble des modes de fonctionnement permettant la bonne marche de l’entreprise : procédures formelles (modes de fonctionnement), procédures informelles (réunions…) et outils (de gestion, de communication, de production…).
    Les systèmes doivent être évalués selon leur niveau de contribution à l’atteinte des objectifs opérationnels fixés par la stratégie.
    Les outils et en particulier les outils du Système d’Information doivent être un support efficace de l’organisation du travail  et des modes de fonctionnement : ils sont alors alignés sur la stratégie de l’entreprise.
  5. Son style de management : Il définit le mode de gouvernance et de gestion de l’entreprise.
    Différents styles de management existent, du contrôle total à la délégation en passant par le mode paternaliste et ils sont déterminants dans le niveau de responsabilité et d’autonomie souhaité et alloué à chaque collaborateur et manager.
    Il est important de s’assurer que les managers – et notamment les managers de proximité – jouent pleinement leur rôle de courroie de transmission entre la Direction et les équipes opérationnelles.
  6. Les Hommes, le carburant de l’entreprise : S’assurer que l’entreprise dispose des ressources adéquates et nécessaires à son bon fonctionnement et que tous les aspects de la gestion des Ressources Humaines (Recrutement, formation, évaluation des compétences / performance, gestion de carrière, rémunération…) sont efficaces est bien évidemment nécessaire ; mais il est tout aussi important de s’intéresser aux motivations des collaborateurs et particulièrement de la reconnaissance de leur implication et de leur travail.
  7. Ses savoir-faire différenciants Points forts de l’entreprise (Innovation, Marketing, Politique prix, etc…), ils nécessitent d’être évalués de manière objective vis-à-vis du marché et des concurrents.
    Le ressenti interne, l’introspection voulue ou non pouvant être assez éloignés de la réalité…

L’ensemble de ces composants est résumé dans le schéma qui suit :

 

Figure : Les structures et les circuits d’information fédèrent l’organisation – Adix droits réservés

Le bilan de situation tel que le pratique ADIX (nous ne goutons guère au terme « d’audit organisationnel ») a pour objectif d’analyser l’organisation de l’entreprise afin d’identifier ses points forts et ses points faibles et ce sur l’ensemble des composants décrits ci-dessus.
Ce n’est que sur la base de ce constat factuel « à 360° », ne négligeant aucun aspect et sur la base d’un consensus sur la situation que nous co-construisons avec nos clients une feuille de route visant à optimiser le fonctionnement global de l’entreprise.
Vous vous interrogez sur un ou plusieurs des composants décrits dans l’article ? Engagez l’échange en envoyant un mail à cauvin@adix.fr ou via notre formulaire de contact.
[Adix – Droits réservés – Mars 2020]