Courrier adressé aux clients, partenaires et relations d’ADIX.
J’ai le plaisir de vous annoncer, en tant que Président du Groupe Adix, ainsi qu’au nom des associés et des collaborateurs d’Adix, que le bureau d’études et de conseil alimentaire Triesse Gressard dont nous étions actionnaire minoritaire depuis 3 ans rejoint le groupe Adix. A cette occasion, nous créons une nouvelle marque : Soliance Alimentaire !
| Ce rapprochement est né de notre volonté de proposer une réponse adéquate aux défis et enjeux du secteur alimentaire dans son ensemble, en étant capable d’intervenir du champ à l’assiette, de l’agriculteur au distributeur en passant par les acteurs institutionnels, publics, les industriels, les coopératives agricoles mais aussi la restauration…
Soliance Alimentaire, c’est avant tout un centre d’experts métier, d’ingénieurs agro, qui va travailler avec les compétences cœur de métier d’Adix (transformation des entreprises, expérience client, gouvernance des systèmes d’information, accompagnement des projets). Cet ensemble, constitué de 65 consultants répartis entre Lille, Lyon, Paris, Rennes et Strasbourg, se donne comme mission de « nourrir la vision et de cultiver l’action » des acteurs de la filière alimentaire. Tout un programme qui s’inscrit dans notre raison d’être et notre engagement sociétal et durable. Enfin, je tiens à remercier Christophe TORELLA d’avoir accepté d’assurer la présidence du conseil de surveillance de la marque Soliance Alimentaire, et Henri BOUILLOT d’avoir vu comme une opportunité que Triesse Gressard nous rejoigne. Ensemble, et avec leur équipe, ils seront les acteurs clé de la réussite de ce rapprochement dans les prochains mois. Cordialement, Vincent BEHAGUE Rejoindre Soliance Alimentaire sur Linkedin |
Pour la deuxième année consécutive, le thème du marketing éthique et responsable était au menu de la partie Congrès du Com’ en Or Day organisé à Lille le 24 mars. Et comme l’an dernier c’est Florent ARGENTIER, consultant du cabinet Adix et engagé au sein du Collectif RESPONSABLES! by Adetem (l’association des professionnels du marketing) qui a prêté main forte aux organisateurs pour préparer et animer la séquence marketing de l’événement.
Parmi les sujets qui ont été abordés, en voici quelques-uns qu’il partage dans cet article.
Tout d’abord, beaucoup d’entreprises ont commencé à transformer leurs offres : soit parce qu’une partie de leurs clients – en BtoB comme en BtoC- le leur demande, soit parce qu’elles se rendent compte que c’est un moyen d’aller toucher de nouveaux marchés et une potentielle source de différenciation. D’autres enfin prennent conscience que la législation commence à les y contraindre…
Cette transformation des offres possède la vertu de mobiliser différents services en interne, et permet ainsi de casser les habitudes de travail. Elle nécessite d’impliquer les fournisseurs et les fabricants, et ainsi de mettre en place des logiques partenaires sur des projets d’innovation.
Les solutions pour mettre en place des offres responsables sont souvent complexes. C’est ce qu’ont su expliquer, lors de la table ronde (cf illustration en en-tête), Céline SEUZARET (Forest Style – Soulet), Mathilde BURGEOT (Fidel Fillaud) et Mouna AOUN (KissKissBankBank) : Concevoir, fabriquer et commercialiser une balançoire ou des conditionnements pour l’industrie cosmétique, en respectant les enjeux de développement durable nécessite de l’intention, de la créativité, de l’argent parfois, des compromis souvent, et beaucoup de pédagogie et de communication vers les consommateurs. Autant de raisons qui incitent encore certaines entreprises à ne rien faire…
Le sujet de la responsabilité sociale et environnementale des entreprises devient un enjeu crucial pour les entreprises. La transformation digitale des entreprises a pris plus de 15 ans, et les retardataires s’y sont engagés en 2020, avec le Covid. Le sujet qui va occuper les entreprises les prochaines années est celui de la transformation responsable des entreprises. Il nous occupera probablement les 20 prochaines années, mais il y a urgence !
Pour aller plus loin – A retenir notamment… :
– Une définition : celle du marketing responsable telle que la propose le collectif RESPONSABLES by Adetem : Le marketing responsable est un marketing engagé, respectueux de la planète et des personnes. Dans un contexte de changement global, il impulse la dynamique de transition des entreprises vers des modèles de création de valeurs qui répondent aux enjeux de développement durable.
– Un schéma qui montre que la RSE est un projet qui touche toute l’entreprise : Celui proposé par Adeline OCHS, co-auteure du livre Marketing Durable (Ed Pearson) et keynote lors de l’événement :
– Un nouveau mot qui n’est pas (encore) à cette date dans Le Robert, mais qui devient le quotidien des collaborateurs qui travaillent sur l’offre : éco-innovation = Approche méthodique qui prend en considération les aspects environnementaux dans le processus de conception et développement, dans le but de réduire les impacts environnementaux négatifs tout au long du cycle de vie du produit ou service. (illustration appliquée à un vêtement : Adeline OCHS) :
– Un premier outil de réflexion pour les marketeurs, proposé par Florence TOUZE, Membre de Responsables! by Adetem et auteure de Marketing, Les Illusions perdues (Ed. La mer salée) : La Marguerite des besoins, qui revisite la Pyramide de Maslow et met l’accent sur les interrelations des besoins entre eux. Une autre manière de penser besoins et attentes clients…
– Un site pour trouver l’inspiration : Réussir avec un marketing responsable, dans lequel David GARBOUS, keynote sur l’événement et à l’initiative de ce site, a puisé certains des exemples qu’il a donné.
Retrouvez ici les différents contenus video de l’événement.
La mission d’Adix est d’aider les entreprises dans leur(s) transformation(s).
Nous sommes profondément convaincus que du collectif émergent les idées. Cette intelligence collective est la capacité d’un groupe à optimiser ses interactions pour partager une vision commune, échanger des émotions, s’unir dans l’action, raisonner plus juste en intégrant une variété de points de vue et de formes de pensée.
Nous pensons que les changements ne sont véritablement pris en compte par les personnes que si chacun en comprend les enjeux et participe activement à la construction des actions envisagées.
Renforcer l’intelligence collective, cela permet d’accélérer le changement également.
Par Claire Boisleux-Vernier, Consultante au sein du cabinet Adix.
La facilitation, kézako ?
La facilitation est un moyen d’animation permettant de rendre plus facile le travail d’un groupe grâce à l’intervention d’un tiers.
Appelé facilitateur, ce tiers amène le groupe à répondre par lui-même aux enjeux et aux problèmes auxquels il fait face. Le facilitateur responsabilise les acteurs, en restant neutre par rapport aux solutions. Son indépendance lui permet de faciliter l’émergence de solutions acceptables pour chacun et il apporte de la méthode pour que le travail du groupe soit efficace et que chacun y trouve sa place.
La facilitation, pour qui ?
La facilitation utilise la dynamique de l’intelligence collective et se déploie par exemple dans le champ de l’accompagnement et de la transformation des organisations ou bien de celle des grands collectifs :
Entreprise, groupe de travail, collectif, équipe… autant de terreaux favorables à l’utilisation de cette fabuleuse technique d’animation.
Dans quels cas utiliser la facilitation ?
Transformer les pratiques managériales pour motiver / embarquer les équipes dans un projet collectif, renforcer une culture d’entreprise, aligner les collaborateurs, innover et créer de la valeur,
faire évoluer l’organisation pour mieux répondre aux enjeux, écrire à plusieurs mains la vision de l’entreprise, dénouer des tensions au sein d’une équipe… autant de cas où la facilitation permettra de délivrer des plans d’actions concrets, émanant du collectif !
Pour quels effets ?
Les effets de la facilitation sont d’apprendre ensemble et de faire l’expérience d’interactions fluides, nourrissantes et bienveillantes.
Cela permet une rapide mise en exécution : comme les idées proviennent du collectif, l’adhésion est plus rapide. Cela permet également de favoriser la connaissance interpersonnelle, de renforcer la cohésion d’un groupe, d’aligner les équipes entre elles, et de rapidement mettre en mouvement, en laissant à chacun la possibilité de s’exprimer.
Intéressés ?
Si vous aussi vous êtes convaincus des bienfaits du collectif pour arbitrer, co construire, mettre en mouvement vos équipes sur un projet commun : contactez-nous, nous serons ravis de vous accompagner à la mise en œuvre d’un atelier de facilitation au sein de votre équipe !
Bertrand Tierny est encore en charge du développement commercial d’Adix quand il commence à mûrir son prochain projet de vie, qui se matérialise fin 2019 lorsqu’il fait valoir ses droits à la retraite. Au début de l’année 2021, celui-ci devient réalité.
Ce projet s’appelle Le Monde du Nédo, et il est situé en Bretagne à proximité de Vannes.
Il s’agit bien d’un Monde, plus que d’un lieu. Un monde incarné par le château du Nédo, bâtisse construite à la fin du 19è siècle dont la réhabilitation soignée a pris plus de 18 mois, qui se fond dans un parc arboré. Cela ne s’arrête pas là. Ce Monde est né d’une conviction fortement ancrée chez Bertrand, celle que « les succès des entreprises reposent en premier lieu sur les personnes et les individus ». Cette conviction s’est forgée tout au long de sa carrière, entamée dans le secteur des RH et de l’informatique. Relations humaines, ces deux mots prennent tous leurs sens pour Bertrand, qui laisse chez Adix l’image d’un homme de rencontres et de réseaux, facilitateur toujours curieux de découvrir de nouveaux métiers, de s’enrichir des expériences des autres, et de nature optimiste et enthousiaste.
Alors, depuis le début de cette année 2021, Le Monde du Nédo abrite des séminaires, des réunions, des rencontres, des formations, mais surtout des moments de vie. Les lieux s’adaptent aux besoins des groupes à taille humaine, dans un équilibre entre convivialité, détente et travail en équipe. L’hébergement sur plusieurs jours est possible, sur place ou à proximité. Au-delà des équipements permettant le travail collaboratif, Le Monde du Nédo associe le végétal (on y fait de la permaculture, de la sylviculture), l’animal (Bertrand et son épouse élèvent des chevaux), le marin (le port de Vannes est à 15’), l’histoire (à commencer par celle du lieu), la gastronomie, l’art et le sport. En fonction des souhaits émis par les entreprises qui investissent l’endroit, Bertrand mobilise son réseau pour différentes activités telles un atelier cuisine, une expédition en bateau ou une randonnée à vélo, une conférence, ou plus traditionnellement pour animer un atelier sur un sujet professionnel.
Parce que durant sa longue carrière, Bertrand a acquis la conviction qu’il ne fallait pas être consommateur des séminaires, mais acteur de ceux-ci. Ce qui commence par l’appropriation du lieu, de son intimité, et par le partage des tâches entre les collègues : « Faire ensemble, pour que, entre collègues, on se parle ». Parce que sinon, « si le dirigeant n’est pas dans le partage, cela ne décolle pas ; il faut qu’il retire son costume professionnel, et son équipe également, afin de créer de l’authenticité ! ».
L’hôte, natif des Hauts de France où il a réalisé l’essentiel de son chemin professionnel, n’a guère eu de mal à se faire accepter par l’écosystème breton. Attentionné, à la fois disponible et discret vis-à-vis de ses visiteurs, il confie volontiers qu’il guette les premiers moments où il va les entendre rire ensemble : c’est souvent le signe qu’ils ont « posé le sac à dos » et que les échanges seront profonds et authentiques, en accord avec la devise du lieu : Respirer, s’inspirer !
Pour en savoir plus sur Le Monde du Nédo : en attendant l’ouverture prochaine du site Internet, rendez-vous sur la page Linkedin
En novembre 2020, Adix s’était engagé dans la course du Vendée Globe… De manière indirecte, et dans le but de porter les valeurs de solidarité et d’engagement sociétal que partagent les consultants du cabinet. Ainsi, nous avions décidé de nous associer et de soutenir le projet LinkedOut, porté par l’association Entourage. Au-delà du résultat de cette course qui fut passionnante, voici le bilan de cette formidable aventure humaine !
Le projet LinkedOut : Il est né du constat que les personnes en situation de précarité sont invisibles sur le marché de l’emploi ; invisibilité qui les empêche de trouver du travail. LinkedOut est une plateforme digitale qui rassemble les CV de personnes en difficulté souhaitant travailler. LinkedOut s’appuie sur le réseau des entreprises partenaires, de leurs collaborateurs ainsi que tout individu souhaitant à son échelle participer à cette initiative. Chaque utilisateur peut facilement, en un seul clic, diffuser le ou les CV de son choix sur les réseaux sociaux afin de booster et donner de la visibilité à des personnes en recherche d’emploi. C’est le skipper Thomas RUYANT qui a pris le départ de la course sur le bateau LinkedOut, le 8 novembre dernier.
Au niveau sportif pour commencer, ce Vendée Globe a vu Thomas RUYANT prendre la 6è place du général… après avoir été en tête pendant plusieurs heures, et assuré une belle visibilité à cette cause pendant les 80 jours qu’ont duré son tour du monde ! Donner du sens à la performance est le crédo qui anime Thomas Ruyant depuis toujours, la mission est donc remplie !
Au-delà de la compétition, c’est bien la cause de l’insertion des 80 candidats en situation précaire qui a mobilisé les consultants d’Adix pendant plusieurs semaines, et sur lequel nous souhaitons revenir : A fin avril 55% de ces candidats – soit 44, un peu plus que le nombre de consultants de notre cabinet – avaient retrouvé un emploi, 6 d’entre eux poursuivaient le processus de recrutement, et 12 d’entre eux étaient réorientés vers des dispositifs adaptés à leur situation. Derrière ces chiffres que nous aurions espérés encore meilleurs se cachent Miah, Abdul, Laith et tant d’autres qui ont pu retrouver un emploi, de la fierté, de la dignité, un salaire, des relations professionnelles… Un impact très positif malgré le contexte sanitaire et économique du moment…
Mais l’aventure de LinkedOut se poursuit, à la fois sur la terre ferme – la 3è promotion, dédiée aux jeunes de 18-25 ans qui sortent de l’aide sociale à l’enfance a démarré en juin – et sur les mers et océans, où Thomas Ruyant et son bateau continuent de porter haut les couleurs de LinkedOut : The Ocean Race, puis la Transat Jacques Vabre Normandie – Le Havre en novembre, avant la Route du Rhum en 2022 : Comme le mentionne le navigateur : La notoriété est une chose éphémère, et nous devons redoubler d’effort pour davantage mettre sous les projecteurs l’action de LinkedOut, remettre à l’emploi des personnes en précarité. Naviguer, dans une démarche d’excellence et d’innovation, tout en donnant du sens à notre action, voilà ce qui me fait avancer.